
Parmi les visages de la trahison en République Démocratique du Congo, Willy Ngoma occupe une place particulière. Porte-parole du M23/AFC, il incarne la propagande d’une rébellion fabriquée et pilotée depuis Kigali. Comme Bertrand Bisimwa, il n’est qu’un pantin dans une mise en scène sordide où le M23 joue le rôle d’un mouvement « congolais », alors qu’il n’est en réalité qu’un bras armé du Rwanda.
Mais contrairement à Bisimwa, qui tente de se donner une légitimité politique, Willy Ngoma s’illustre par sa propagande cynique, utilisant les médias et les réseaux sociaux pour justifier l’injustifiable : les massacres, les pillages et la déstabilisation de l’est de la RDC. Son rôle ? Défendre l’indéfendable, minimiser les crimes commis par le M23 et détourner l’attention des véritables responsables du chaos.
Un Pantin au Service du Pillage
En servant le M23, Willy Ngoma est avant tout un complice du pillage systématique des ressources congolaises. Or, coltan, cassitérite… Ces richesses stratégiques sont volées par le Rwanda avec l’aide de traîtres comme lui, pour être revendues sur les marchés internationaux sous une fausse origine rwandaise. Pendant que le sang des Congolais coule, Ngoma joue son rôle de communicant, justifiant la guerre au profit des intérêts étrangers.
Mais qu’est-ce qu’un porte-parole sans cause légitime ? L’histoire ne retient pas les voix des traîtres, elle les efface. Aujourd’hui, il se croit puissant, protégé par ses parrains à Kigali. Mais lorsque la RDC retrouvera sa pleine souveraineté et établira un État de droit fort, les imposteurs comme Willy Ngoma seront rattrapés par la justice.
Un Futur Inévitable
Le sort des marionnettes du M23 est déjà tracé. Avant lui, Laurent Nkunda, Bosco Ntaganda, et d’autres agents du Rwanda pensaient être intouchables. Où sont-ils aujourd’hui ? Soit en exil, soit en prison, soit dans l’oubli. Willy Ngoma, lui aussi, sera bientôt un nom du passé.
Le peuple congolais n’oubliera pas ceux qui ont vendu leur pays, ceux qui ont justifié l’injustifiable. Il peut continuer à défendre le M23 et Kigali aujourd’hui, mais quand le vent tournera, il se retrouvera seul face à ses mensonges.
L’histoire a une règle implacable : elle ne pardonne jamais les traîtres.